mercredi 25 février 2009

Mais oui je tricote encore...


Actuellement sur mes aiguilles, un mini châle en noro silk garden, les couleurs sont superbes mais je vais manquer de laine, alors j'ai une commande en cours ! Malheureusement, je ne l'aurais pas reçue avant mon départ en vacances, tant pis, je finirai d'abord le projet suivant...

Sur mon gros crochet, un début de col moelleux avec une laine que j'avais au fond de mon panier (je devrais le photographier ce panier... Il déborde !).


vendredi 6 février 2009

C'est un carton...

Cela fait un moment qu'Ulysse voulait un grand carton, c'est aujourd'hui chose faite (merci marraine). Et quand je dis un grand carton, c'est un GRAND carton... Nous avons eu bien du mal à le faire rentrer dans la maison, puis à lui faire grimper les escaliers.
Après quelques efforts, Ulysse a donc déménagé...Hé, hé...
Il n'est pour l'instant pas question de lui faire réintégrer son lit !
J'ai même entendu dire que les frères voulaient s'y inviter aussi, ça risque d'être un peu juste !


mercredi 4 février 2009

Mmmmmuffins !




Banane, choco, noix : croustifondant... Mmm, on en redemande !
Et comme je suis sympa, voilà la recette.

Demander l'aide d'1 ou 2 schtroumps
(ils sont toujours volontaires,
sachant qu'à la fin ils ont le droit de lécher la spatule !)

D'abord, préchauffer le four à 200°C.

Dans un premier saladier, mélanger :
250 g de farine avec poudre levante
100 g de sucre roux non raffiné
1 bonne pincée de cannelle en poudre
1 poignée de cerneaux de noix grossièrement écrasés
1/2 plaque de chocolat noir détaillée en grosses pépites

Dans un deuxième saladier, battre :
12,5 cl de lait
75 g de beurre demi sel fondu
2 œufs
2 bananes mûres bien écrasées

Et maintenant, verser le mélange liquide sur les ingrédients secs.
Attention, le secret est là : il ne faut pas fouetter,
mais juste incorporer les ingrédients secs, c'est tout.
Il ne reste plus qu'à remplir des caissettes en papier ou
un joli moule souple à muffins, et hop au four pour 25 mn.

Le plus difficile reste à venir :
résister à la tentation de les manger encore brûlants, quoique...